Depuis 2012, le 28 septembre est une Journée mondiale pour le droit des femmes à l'avortement.
Dans une grande majorité de pays, les femmes ont peu ou pas accès à l'IVG.
Ce n'est pas le cas en France, mais les associations doivent rester vigilantes pour que ce droit, parfois entravé, soit pleinement respecté.
Depuis près de 60 ans, le Planning Familial se bat pour faire respecter les droits des femmes.
C’est à Grenoble qu’est né le premier centre français en 1961.
Il a fallu ensuite attendre la loi Veil de 1975 pour que l’avortement devienne un droit.
Mais aujourd'hui encore, les associations doivent être vigilantes pour qu’il soit pleinement respecté.

De nombreuses entraves
Pour une IVG médicamenteuse, le délai est de 7 semaines de grossesse. Il passe à 12 semaines avec la méthode chirurgicale.
Mais les démarches prennent du temps et des obstacles peuvent surgir. Parmi eux, le manque de médecins compétents et la disponibilité des blocs chirurgicaux dans les hôpitaux.
Et il y a aussi les militants anti-avortement. Ils manipulent les jeunes filles sur des sites internet trompeurs.
En cette journée mondiale du droit des femmes à avorter, il est nécessaire de rappeler que l’entrave à l’IVG est un délit.

Visionner le reportage sur https://www.youtube.com/watch?time_continue=4&v=hnhUxY3BSms

Abonnez-vous aux actualités du planning