Pour être à la hauteur des discours portés et du leadership politique français sur les questions de droits et santé sexuels et reproductifs (DSSR) au sein des enceintes internationales, nos associations demandent que la France s’engage à doubler le niveau actuel de ses financements internationaux en faveur des droits et santé sexuels et reproductifs, en consacrant a minima 200 millions d’euros annuels à ces enjeux sur la période 2021-2026.