La « Convention d’Istanbul » constitue l’instrument juridique international le plus complet qui existe à ce jour pour prévenir et combattre les violences sexistes et sexuelles, notamment les violences conjugales, et protéger les victimes. Notre constat : la France est loin de respecter la Convention.
Le rapport d'évaluation a été remis par un collectif d'associations spécialisées, le 24 juin 2024 : CIDFF, Solidarités Femmes, Féministes contre le cyber harcèlement, la Cimade et le Planning familial, avec les contributions de l'ADFEM et France Terre d'Asile.
- La France n’a toujours pas intégré dans son droit national l’ensemble des dispositions de la Convention
- Quand le droit est plus ou moins conforme à la Convention, la mise en œuvre est rarement à la hauteur
- Lutte contre les violences sexistes et sexuelles, notamment les cyberviolences Prise en compte des publics marginalisés (femmes étrangères, femmes en situation de handicap...)
- Coordination et pilotage des politiques publiques
- Financements
La France doit de toute urgence progresser pour respecter ses engagements. L’arrivée au pouvoir de l’extrême droite, qui a voté CONTRE la ratification de la Convention, y mettrait un coup d’arrêt fatal. Nos associations resteront mobilisées pour défendre les droits des femmes !